Société
Retour22 novembre 2020
Communiqué L'Avantage - redactionrimouski@medialo.ca
L’AFEAS veut faire reconnaître le travail « invisible »
MANIFESTE
©Photo depositphotos
Le travail « invisible » est un travail effectué sans rémunération ou de façon sous-rémunérée et inclut, notamment, le travail réalisé par les proches aidants.
La présidente de l’AFEAS de Saint-Anaclet, Raymonde Vandal, demande la collaboration de la population pour faire reconnaître le travail « invisible ».
L’AFEAS explique que le travail « invisible » est un travail effectué sans rémunération ou de façon sous-rémunérée et inclut, notamment, le travail réalisé au sein de la famille, par les proches aidants ou comme bénévole. L’association souhaite que le 1er mardi d’avril soit proclamé la Journée du travail invisible par tous les gouvernements.
« Il va de soi que cette reconnaissance entraînera son ajout dans le PIB et certains avantages sociaux non reconnus à toutes ces personnes qui travaillent dans l'ombre […] Onze organismes se sont joints à l'AFEAS dans ce projet et nous comptons sur l'appui de tous pour faire pression auprès de nos instances gouvernementales », exprime Mme Vandal.
La présidente de l’AFEAS de Saint-Anaclet invite les citoyens à signer le manifeste en ligne d’ici le 20 décembre. L’Association féminine d’éducation et d’action sociale défend les intérêts des femmes québécoises et canadiennes auprès de diverses instances comme les gouvernements, les conseils municipaux, les institutions publiques et parapubliques.
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