26 octobre 2023

Annie Levasseur - alevasseur@medialo.ca

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©Le Laurentien - Annie Levasseur - Le Laurentien

Des participantes à l’événement « Les filles et les sciences, un DUO électrisant ! ».

Les jeunes qui ont participé à l’activité sont des élèves de 2e, de 3e et de 4e secondaire des écoles de la région. « Les filles et les sciences, un DUO électrisant! » est organisé à l’échelle provinciale pour une 23e année.

« C’est une journée pour faire découvrir des carrières potentielles. Ça donne aux jeunes la possibilité de connaître des domaines et des métiers possibles. On parle de disciplines dans lesquelles elles pourront travailler plus tard. À leurs âges, elles commencent à être dans cette réflexion de choix de carrière. C’est de piquer la curiosité et de montrer des avenues ainsi que des options », affirme la coordonnatrice de programmes à Technoscience Est-du-Québec, Mélanie Bourque.

C’est cet organisme qui organise l’événement dans la région en collaboration avec l’IMQ. Des ateliers, un défi créatif, une présentation de la conférence « Les baleines sont nettement plus surprenantes qu'il n'y paraît! » de la biologiste Vikie Pedneault ainsi que la « zone découverte », qui s’apparente à un salon carrière, étaient notamment au programme de la journée.

« C’est très intéressant parce qu’on peut en apprendre plus sur les sciences. J’ai appris des choses sur la mécanique, sur les sciences pures et sur la navigation », mentionne l’élève de 2e secondaire à l’école du Mistral de Mont-Joli, Éveline Voyer.

« J’ai aussi bien aimé en connaître davantage sur la navigation du bateau. Ça nous permet de découvrir des choses sur la science et c’est un domaine qui m’intéresse », ajoute Alice Fournier, également en 2e secondaire à la même école.

Selon les organisateurs de l’événement « Les filles et les sciences, un DUO électrisant! », moins de 25 % des postes en STIM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques) sont occupés par des femmes en 2023.

« Il y a de plus en plus de présence de femmes, mais il y a encore certains domaines, comme les STIM, qui ont encore un pourcentage moins élevé de femmes. Les femmes et les hommes apportent tous quelque chose d’intéressant dans ces métiers. Nous voulons les faire découvrir. Certains sont moins traditionnellement féminins et parfois ça part juste du fait de connaître leur existence et de savoir que c’est une possibilité de carrière », conclut Mélanie Bourque.

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